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hal.structure.identifier
dc.contributor.authorAvouyi-Dovi, Sanvi*
hal.structure.identifierBanque de France
dc.contributor.authorHorny, Guillaume*
hal.structure.identifierAutre
dc.contributor.authorSevestre, Patrick*
dc.date.accessioned2015-05-06T14:50:14Z
dc.date.available2015-05-06T14:50:14Z
dc.date.issued2015
dc.identifier.urihttps://basepub.dauphine.fr/handle/123456789/15030
dc.description.abstractfrNous étudions la dynamique de la transmission du coût marginal des banques aux taux à court terme des nouveaux crédits bancaires accordés aux sociétés non financières, en Allemagne, Espagne, France, Grèce, Italie et Portugal, au cours de la crise financière de 2008 et de celle des dettes souveraines. Nous mesurons le coût marginal des banques par les taux des nouveaux dépôts alors que l'accent est mis sur les taux du marché monétaire dans la littérature. Cela nous permet de différencier le risque auquel font face les banques dans les différents pays. Nous spécifions un modèle à correction d'erreur que nous généralisons, d’une part, pour permettre à la relation de long terme liant le taux des crédits bancaires au coût marginal des banques de changer dans le temps, et, d’autre part, pour introduire une volatilité stochastique. Le modèle est estimé avec des données, harmonisées entre les pays étudiés, et couvrant la période allant de Janvier 2003 à Octobre 2014. Nous utilisons une approche bayésienne, basée sur des méthodes de Monte Carlo par Chaînes de Markov (MCCM). Nos résultats rejettent l'hypothèse selon laquelle le coût marginal des banques se transmet aux taux des nouveaux crédits de manière constante dans le temps. La relation de long terme qui unit ces variables, s’est modifiée avec la crise de la dette souveraine ; elle est devenue une relation dans laquelle les variations de coût marginal se transmette nt plus lentement et où les taux des prêts bancaires sont plus élevés. Ces évolutions diffèrent d'un pays à l'autre. En effet, les freins à la transmission des taux monétaires dépendent de l'hétérogénéité des coûts marginaux des banques, et donc de leurs r isques. Nous constatons également que dans certains pays, les taux accordés aux petites entreprises augmentent par rapport à ceux octroyés aux grandes entreprises durant la crise. Enfin, avec un modèle VAR, nous montrons que, globalement, un choc sur les t aux des nouveaux dépôts à moins d’effet sur l’évolution des taux des nouveaux prêts depuis 2010. Ces résultats confirment le ralentissement dans la transmission.en
dc.language.isoenen
dc.subjectBank interest ratesen
dc.subjecterror-correction modelen
dc.subjectstructural breaksen
dc.subjectstochastic volatilityen
dc.subjectBayesian econometricsen
dc.subjectTaux bancairesen
dc.subjectmodèle à correction d’erreuren
dc.subjectruptures structurellesen
dc.subjectvolatilité stochastiqueen
dc.subjectéconométrie bayésienneen
dc.subject.ddc339en
dc.subject.classificationjelE.E4.E43en
dc.subject.classificationjelG.G2.G21en
dc.titleThe stability of short-term interest rates pass-through in the euro area during the financial market and sovereign debt crisesen
dc.typeDocument de travail / Working paper
dc.description.abstractenWe analyse the dynamics of the pass - through of banks’ marginal cost to bank lending rates over the 2008 crisis and the euro area sovereign debt crisis in France, Germany, Greece, Italy, Portugal and Spain . We measure banks’ marginal cost by their rate on new deposits, contrary to the literature that focuses on money market rates. This allows us to account for banks’ risks. We focus on the interest rate on new short - term loans granted to non - financial corporations in these countries . Our analysis is based on an error - correction approach that we extend to handle the time - varying long - run relationship between banks’ lending rates and banks’ marginal cost, as w ell as stochastic volatility . Our empirical results are based on a harmoni s ed monthly database from January 2003 to October 201 4 . We estimate the model within a Bayesian framework, using Markov Chain Monte Carlo methods (MCMC). We reject the view that the t ransmission mechanism is time invariant. The long - run relationship moved with the sovereign debt crises to a new one, with a slower pass - through and higher bank lending rates. Its developments are heterogeneous from one country to the other. Impediments to the transmission of monetary rates depend on the heterogeneity in banks marginal costs and therefore, its risks. We also find that rates to small firms increase compared to large firms in a few countries. Using a VAR model, we show that overall, the effec t of a shock on the rate of new deposits on the unexpected variances of new loans has been less important since 2010. These results confirm the slowdown in the transmission mechanism.en
dc.publisher.nameBanque de Franceen
dc.publisher.cityParisen
dc.identifier.citationpages45en
dc.relation.ispartofseriestitleDocument de travailen
dc.relation.ispartofseriesnumber547en
dc.subject.ddclabelMacroéconomieen
dc.description.submittednonen
dc.description.halcandidateoui
dc.description.readershiprecherche
dc.description.audienceInternational
hal.identifierhal-01511667*
hal.version1*
hal.update.actionupdateMetadata*
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