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hal.structure.identifierInstitut de Recherche Interdisciplinaire en Sciences Sociales [IRISSO]
dc.contributor.authorRozier, Sabine
dc.date.accessioned2019-07-08T08:31:31Z
dc.date.available2019-07-08T08:31:31Z
dc.date.issued2017-05
dc.identifier.urihttps://basepub.dauphine.fr/handle/123456789/19195
dc.description.abstractfrC’est dans un immeuble côtoyant un long bâtiment surmonté d’une immense enseigne lumineuse, comme on en voit des dizaines dans cette vaste zone commerciale, trace visible de l’empreinte qu’a laissée, dans la périphérie des villes françaises, le développement de la grande distribution, que se trouve le siège de la société de Joël Dumez. Son bureau, à l’angle du dernier étage, domine le parking où se pressent les voitures des clients. Il vient de quitter, ému, l’un de ses anciens associés qui s’était lancé avec lui dans la création de son tout premier magasin une quarantaine d’années plus tôt : il avait alors jeté son dévolu sur un vaste espace de 500 mètres carrés découvert un peu hasard dans le renfoncement d’un boulevard parisien pour y lancer son activité. On était en 1973. Une nouvelle forme de commerce était apparue une vingtaine d’années plus tôt aux États-Unis pour promouvoir le « do it yourself ». Des quincailliers français s’en étaient inspirés et les premières grandes surfaces étaient sorties de terre peu après. Des entrepôts à l’aménagement spartiate avaient poussé loin des centres urbains. Les clients pouvaient s’y procurer des produits habituellement dispersés dans différents magasins de centre-ville : il y avait du choix, les articles étaient en accès libre et affichaient des prix particulièrement attractifs. Joël Dumez, alors attaché commercial dans une entreprise, mûrissait depuis longtemps l’envie de s’installer à son compte et s’était dit qu’il y avait là, dans cette forme de commerce naissante, une occasion de se lancer dans la création de sa propre affaire.en
dc.language.isofren
dc.subjectgestion entrepriseen
dc.subjectsociologieen
dc.subjectéconomieen
dc.subject.ddc306.3en
dc.title“Ce qui fait le patron, c’est l’insatisfaction”. Du CAP de boulangerie à la grande entrepriseen
dc.typeChapitre d'ouvrage
dc.identifier.citationpages47-­59en
dc.relation.ispartoftitlePatrons en Franceen
dc.relation.ispartofeditorM. Offerlé
dc.relation.ispartofpublnameLa Découverteen
dc.relation.ispartofpublcityParisen
dc.relation.ispartofdate2017-05
dc.relation.ispartofpages400en
dc.subject.ddclabelSociologie économiqueen
dc.relation.ispartofisbn9782707190734en
dc.relation.forthcomingnonen
dc.description.ssrncandidatenonen
dc.description.halcandidateouien
dc.description.readershiprechercheen
dc.description.audienceNationalen
dc.date.updated2019-05-27T08:49:41Z
hal.identifierhal-02176364*
hal.version1*
hal.author.functionaut


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