Show simple item record

hal.structure.identifierCEntre de REcherches en MAthématiques de la DEcision [CEREMADE]
dc.contributor.authorMazari, Idriss
HAL ID: 751069
dc.date.accessioned2022-11-21T13:14:27Z
dc.date.available2022-11-21T13:14:27Z
dc.date.issued2022
dc.identifier.urihttps://basepub.dauphine.psl.eu/handle/123456789/23169
dc.description.abstractfrLe contrôle optimal d’équations elliptiques ou paraboliques est un sujet classique et important de la théorie des équations aux dérivées partielles. Dans cet exposé, je présenterai quelques résultats sur une question qualitative qui apparaît dans de nombreuses applications, notamment en biologie: supposons que l’on se donne un opérateur, elliptique ou parabolique, noté L, une non-linéarité f=f(t,x,u), abrégée en f(u), et un couplage ϕ(y,u)$ entre le contrôle y et l’état u. L’équation d’état est donnée par L u= f(u)+ϕ(y,u). On se donne une fonctionnelle de coût de la forme J(y)= ∫j(u) où l’intégrale est en espace, ou en espace et en temps, et où j peut également dépendre de x et t. La classe de contrôles admissibles est donnée par Y:={0≤y≤1, ∫Ωy=V0}c’est-à-dire par une contrainte L∞ et une contrainte L1. Enfin, le problème de contrôle optimal est maxy∈YJ(y). Une question naturelle est alors de savoir si les contrôle d’optimaux y∗ sont bang-bang, c’est-à-dire s’ils valent 0 ou 1 presque sûrement, ou si, au contraire, ils peuvent comporter des zones “anormales”, où ils prennent des valeurs entre (0;1). D’un point de vue théorique aussi bien que numérique, cette question a son importance. Je parlerai de deux classes de résultats: 1) D’abord, pour les contrôles bilinéaires, c’est-à-dire avec ϕ(y,u)=yu, je présenterai des travaux en collaboration avec G. Nadin et Y. Privat, qui indiquent que, si la fonctionnelle J est croissante (y≤y′ implique J(y)≤J(y′)), alors la propriété bang-bang est satisfaite, indépendamment des propriétés de concavité ou convexité de la non-linéarité f. Ces résultats constituent un analogue “contrôle” du théorème de Buttazzo-DalMaso.2) Ensuite, pour les contrôles linéaires, c’est-à-dire avec ϕ(y,u)=y, je présenterai des résultats obtenus avec G. Nadin et A. Toledo-Marrero qui montrent que la concavité de la non-linéarité f devient critique. J’expliquerai comment des développements multi-échelles nous permettent alors d’obtenir des informations plus fines sur le comportement des optimiseurs sur la zone anormale.en
dc.language.isofren
dc.subject.ddc515en
dc.titleOptimisation de formes & contrôle optimal: contrôle bilinéaire versus contrôle linéaireen
dc.typeCommunication / Conférence
dc.subject.ddclabelAnalyseen
dc.relation.conftitleSéminaire du Pôle Analyse, CMAP, Ecole Polytechniqueen
dc.relation.confdate2022-11
dc.relation.confcityParisen
dc.relation.confcountryFranceen
dc.relation.forthcomingnonen
dc.description.ssrncandidatenon
dc.description.halcandidatenonen
dc.description.readershiprechercheen
dc.description.audienceNationalen
dc.relation.Isversionofjnlpeerreviewednonen
dc.date.updated2022-11-21T13:09:15Z
hal.author.functionaut


Files in this item

FilesSizeFormatView

There are no files associated with this item.

This item appears in the following Collection(s)

Show simple item record