dc.contributor.author | Roy, Bernard | |
dc.date.accessioned | 2010-06-29T09:31:48Z | |
dc.date.available | 2010-06-29T09:31:48Z | |
dc.date.issued | 2009 | |
dc.identifier.uri | https://basepub.dauphine.fr/handle/123456789/4484 | |
dc.description.abstractfr | Après avoir rappelé ce que recouvre le qualificatif « robuste » en aide à la décision (AD) et
expliqué pourquoi on se préoccupe de robustesse en AD, je présenterai (section 2) un double
constat. Celui-ci me conduira à faire quatre propositions ayant pour objet de chercher à mieux
répondre à la préoccupation de robustesse en AD. Je montrerai, dans le cadre des deux
premières (sections 3 et 4), que les à peu près et zones d’ignorances vis-à-vis desquels la
préoccupation de robustesse a pour objet de se protéger doivent, dans bien des cas, être pensés
en substituant le concept de version à celui de scénario et en s’intéressant de surcroît aux
diverses procédures de traitement qui doivent être utilisées pour étudier le problème d’aide à
la décision tel qu’il a été formulé. Je montrerai ensuite (section 5) que les réponses qu’il est
classique d’apporter en termes de « solutions robustes » le sont dans une conception beaucoup
trop restreinte de ce concept. J’esquisserai un certain nombre de voies de recherche qui
pourraient être davantage explorées non seulement pour concevoir autrement des solutions
pouvant être qualifiées de robustes mais aussi pour mieux interagir avec le décideur afin de
bien lui faire prendre conscience de ce que ce qualificatif « robuste » peut avoir de subjectif.
Enfin, la quatrième proposition porte sur des formes de réponses qui consistent à énoncer des
« conclusions robustes » (lesquelles ne font pas nécessairement référence à des solutions
qualifiées de robustes). Après avoir défini ce que j’entends par conclusions robustes et donné
des exemples, j’évoquerai les rares approches qui ont été proposées pour obtenir de telles
conclusions. | en |
dc.language.iso | fr | en |
dc.subject | Decision aiding | en |
dc.subject.ddc | 003 | en |
dc.title | Pour mieux répondre à la préoccupation de robustesse en aide à la décision : Quatre propositions suite à un double constat | en |
dc.type | Document de travail / Working paper | |
dc.description.abstracten | After reviewing what the adjective “robust” means in decision aiding (DA) and explaining
why it is important to be concerned about robustness in DA, I present a twofold observation
(section 2) which leads me to make four proposals in order to better respond to robustness
concern in decision aiding. With the first two proposal (sections 3 and 4), I show that, in
many cases, the vague approximations and the zones of ignorance against which robustness
helps to prevent, must be considered in terms of substituting the concept of version for the
usual concept of scenario and focusing on the diverse processing procedures that must be used
to study the decision aiding problem as it was formulated. Next, I show (section 5) that the
traditional responses formulated in terms of “robust solutions” limit the meaning of this
concept (section 5). I briefly describe a certain number of avenues for research that could be
explored further, not only in order to conceive the solutions that could be qualified as robust
in another way, but also to better interact with decision makers to make them aware that the
adjective “robust” can be subjective. Finally, the fourth proposal is related to forms of
responses which lead to state “robust conclusions”, which do not necessarily refer to solutions
characterized as robust. After defining what I mean by robust conclusions and giving some
examples, I mention the rare approaches that have been proposed for obtaining such
conclusions. | en |
dc.publisher.name | Université Paris-Dauphine | en |
dc.publisher.city | Paris | en |
dc.identifier.citationpages | 24 | en |
dc.relation.ispartofseriestitle | Cahier du LAMSADE | en |
dc.relation.ispartofseriesnumber | 286 | en |
dc.description.sponsorshipprivate | oui | en |
dc.subject.ddclabel | Recherche opérationnelle | en |